bon ben comme j'aimais pas du tout la fin de Ludwig II j'ai inventé une suite pour que tout ceux qui ne l'on pas aimer non plus puissent aussi en profiter.
Le roi Ludwig était mort, certains pleuraient sa mort et d’autres la fêtaient.
Sur le lac sombres et froid ou s’était éteint le pauvre roi, une ombre ramassa un corps inerte gisant sur la berge. Cette ombre marcha jusqu’à un cabanon au plus profond des bois et y installa ce qu’elle avait ramassé.
A plusieurs dizaines de kilomètres de là, Horning était retourné vivre avec son frère, Fritz, sa seul famille. Malgré tout les effort de son jumeau il ne retrouvait pas le sourire, comment aurait-il pu, son roi, son seul amour était mort… par sa faute. S’il n’avait pas été le libéré a cette instant il serait encore en vie, il n’aurait pas été tué par cette chose. Tout le monde peux croire que c’est un accident mais lui il savait que, loin d’être ça, c’était une entité maléfique qui avait pris contact avec Ludwig qui l’avait tué, il l’avait vu , vu de ses yeux qui versaient à présent toutes les larmes que son corps puisse contenir.
Ludwig ouvrit difficilement les yeux, où était-il ? était-il mort ? était-ce l’enfer ? Il se redressa sur un coude et constata qu’il se trouvait allongé sur un lit, de fortune certes mais un lit.
-Oh tu est enfin réveillé, fit une voix derrière lui, le faisant sursauté.
Ludwig se retourna et découvrit un veille homme installer dans un vieux fauteuil de bois.
-Où suis-je ? suis-je mort ? demanda l’ancien roi.
-Oh que non tu es bien en vie. Mais si je ne t’avais pas ramasser sur la berge du lac il y à huit jours, tu le serait sans doute maintenant. Ici tu es dans mon humble chez moi, ajouta le veille homme.
-Je suis donc encore en vie… se murmura-t-il pour lui même. Il faut que je retrouve Horning maintenant que Lohengrin n’est plus et que je ne suis plus roi, plus rien ne nous empêche de nous aimer.
Ludwig essaya de se lever mais à peine essaya-t-il qu’il retomba lourdement sur le lit.
-Hé la, tu et encore trop faible pour te lever mon grand, s’exclama l’homme en se levant de son fauteuil. Il faut que tu reprennes des force tu es resté à jeun durant plusieurs jours. Tiens, bois un peu de cette soupe.
Le vieux, lui tendit le bol qu’il venait de remplirent, Ludwig le pris et commença à le boire, le goût était désagréable, loin de se qu’on lui servait au château, mais maintenant il n’était plus roi alors il devrait s’habituer a ce que mange le peuple. Il ne fit aucun commentaire et termina sa soupe.
Ce matin là, Fritz se réveilla et vit que son frère n’était pas dans son lit, il avait préféré l’installer dans sa chambre pour pouvoir veiller sur lui même la nuit, il se dirigea lentement vers le salon, rien, il s’engagea donc vers la cuisine et c’est la qu’il le vit, allonger contre le sol, les poignets en sang, il avait tenté de se suicider. Fritz se précipita sur le corps inerte de sont frère, il vivait encore, il déchira la chemise qu’il portait sur lui et en fit deux bandage qu’il appliqua directement sur les plaies de son jumeau. Quand le sang eu fini de couler, il le porta doucement jusqu'à son lit.
-Pourquoi ? pourquoi est-il près a mettre fin à ses jours pour cet homme ? je ne comprend pas, c’est portant un homme détestable. Me serais-je trompé ? serait-il différent de l’image que j’avais de lui ? non c’est impossible il ne peut pas être différent. Alors, pourquoi a-t-il fait ça ? l’aime-t-il onc a ce point ? et même si, est-ce que ses sentiments était partagé ? non évidemment que non, cet homme est un monstre, il a avili mon frère, il l’a manipuler.
Fritz était encore perdu dans ses pensée quand il entendit des pleurs venir de la chambre, il se dirigea vers celle-ci et vit son frère, en position fœtal, pleuré encore il ne faisait que ça depuis qu’il était rentré chez lui.
-Pourquoi suis-je encore en vie ? ce n’est pas juste, je voulait mourir, cria-t-il.
-Je ne voulait pas te voir mourir, je t’aime, tu est mon frère, tu est ma seul famille.
-C’est toi qui m’a empêché de partir ?! Tu es cruel tu ne vois donc pas que je souffre, que je veux aller le rejoindre ?!
-Si, je le vois, admit Fritz, mais la mort n’est pas une solution, c’est lâche de mourir parce qu’on ne veux plus souffrir.
-Et alors, je suis un lâche comme ça tu es content. Laisser moi mourir en paix s’il te plait, je ne peux pas vivre sans lui, je l’aime trop.
-Mais si tu meurs que me restera-t-il a moi qui n’ai que toi ? réfléchis y.
Fritz sortit de la pièce, pour ne pas que son frère le voie pleurer.
-Il l’aime, il l’a dit, il l’aime. Mais pourquoi, pourquoi mon frère cet être si pur et innocent aime-t-il un démon dans son genre ? Et moi, est-ce que je compte si peu à ses yeux par rapport a lui ?
Cinq jours, cinq jours que Ludwig était réveillé, le vieil homme lui a dit qu’il pouvait enfin ce lever et là il était en train de faire quelque tours de la petite bâtisse pour se remettre en forme.
-Et que vas-tu faire aujourd’hui ? demanda l’homme.
-Je vais aller en ville pour chercher Horning.
-Je vais venir avec toi, ça me fera de l’occupation. Bon allons-y maintenant, décida le vieux.
Cela faisait cinq jours que Horning avait fait sa première tentative de suicide et chaque jours une nouvelle tentative venait s’ajouter au précédente. Mais à chaque fois, son frère était la pour empêché sa vie de s’échapper de son corps. Il ne quittait plus une seul secondes des yeux, l’être sans vie qu’était devenu son frère jumeau.
Après trois jours de recherche, Ludwig apprit enfin où résidait Horning. La nuit commençait a tombé et comme il lui faudrait au moins une bonne journée de marche pour s’y rendre, il décida qu’il s’y rendrait le lendemain.
Fritz désespérait, quand son frère ne tentait pas de se suicider, il passait tout son temps assis sur une chaise a regarder la foret qui s’étendait derrière la maison par la fenêtre. Il ne reconnaissait plus celui avec qui il avait passé toute son enfance, celui-là était devenu une coquille vide, ou tout du moins son âme était brisée. Ça lui faisait mal de le voir ainsi, peut-être devrait-il vraiment le laisser mourir ?
On toqua à la porte, Horning ne réagit même pas, il resta tourné vers sa fenêtre a regarder la noirceur des bois. Fritz alla ouvrir, en voyant qui se trouvait derrière il faillit s’évanouir. Ludwig, l’homme que tout le monde croyait mort était la devant lui.
-Euh, Horning est là ? demanda-t-il
Fritz sortit et referma la porte derrière lui.
-Mais comment ça ce fait que vous êtes en vie vous ! Vous auriez pas pu venir plus tôt a cause de vous mon frère dépérit, il m’a fait je ne sais plus combien de tentative de suicide pour aller vous rejoindre et vous vous étiez en vie ! s’énerva-t-il.
-Je suis désolé, j’ai repris connaissance il y a fort peu de temps mais dés que j’ai été remit sur pied, j’ai récolté des information pour le retrouver et me voilà.
-Aller le voir, il ira mieux. Même si je vous déteste, je ferait tout pour le revoir encore sourire alors aller le voir.
-Je suis venu pour ça, sourit Ludwig en pensant qu’il allait enfin pouvoir retrouver son Horning.
-Mais avant je voulait savoir, est-ce que vous l’aimez ?
-Plus que tout au monde, je l’aime plus que tout au monde. Où se trouve-t-il ?
-Il est dans le salon devant le fenêtre.
Ludwig entra doucement et sans aucun bruit dans la maison et se dirigea vers le dos de l’être qui lui avait volé son cœur. Il posa délicatement ses mains sur les yeux de Horning et déposa un tendre baisé dans son cou. Lentement ses mains descendirent jusqu'à son torse et il l’étreint comme encore jamais avait il ne l’avait fait.
-Tu m’a manqué mon ange, je t’aime tellement, lui murmura Ludwig.
-Mon roi, êtes vous venu me chercher ? est-ce que vous m’emmener avec vous au royaume des morts ?
-Non, je ne suis pas mort Horning, seul Lohengrin est mort.
Horning se retourna brusquement, il était là, il était vraiment là, ce n’était pas encore une de ses hallucinations. Les larmes se mirent a couler le long de ses joues et il se jeta dans les bras de son roi.
-Oh, mon dieu, vous êtes vivant, si vous saviez comme je suis heureux. Je vous aime tellement mon roi, tellement.
-Je t’aime aussi Horning, mais je t’en prie tutoies-moi, je ne suis plus roi.
-Vous… Tu m’aimes ? vraiment ?
-Oui je t’aime, lui sourit Ludwig, un sourire que jamais avant on n’avait vu sur son beau visage. Je t’aime et plus jamais je ne te quitterais, je te le promet.
-Plus jamais, on sera toujours ensemble.
Et tendrement, Ludwig se rapprocha de lui et déposa sur ses lèvres un très doux et chaste baiser pour sceller la promesse qu’il venait de faire.
Fin