B'tx : suite à la fin

euh j'ai pas trouvé de titre donc si quelqu'un a une idée

bon voici le début pour ceux que ça interresse

Tout le monde croyait que les gardiens spirituels, Teppei, Kotaro et tout les B’t détruit dans l’explosion de la base de l’empire des machine.

Mais si je vous disait que, loin d’être morts, ils se portaient tous comme un charme, me croiriez-vous ? et pourtant c’est la vérité, durant l’explosion de la base une aura s’est développée autour d’eux et les a protégé, ils ont néanmoins perdu connaissance et en se réveillant ils étaient sur une petite île, plus petite encore que l’île de Kamui. Ils avaient tous été transporté ici, pourtant selon leur position autour de la base, ils auraient tous du être envoyer à des endroit bien différent les uns des autres, c'est comme si leur destinée étaient liée et qu’il ne fallait pas le séparé.

Aucun d’eux ne pouvait expliqué ce phénomène, même pas le brillant Kotaro, mais ils étaient heureux, ici il étaient au calme et plus jamais ils n’auraient à ce battre, ils allaient enfin pouvoir goûter au bonheur qu’ils avaient tous bien mérité.

Au fil des jour, ils se construisirent, dans un grand et bel arbre, une maison. C’était une battisse assez confortable malgré qu’elle se soit trouvée dans un arbre elle étaient assez grande, elle s’étendait des première branches stable de l’arbre, jusqu'à celle les plus en hauteur, elle comptait ainsi trois étage sans compte de rez-de-chaussée et faisait 20m sur 20 de superficie. Ils avaient chacun leur chambre, enfin pas les B’t bien entendu, Max, Jutaime et Raidow étant bien trop grand pour rentrer, couchaient dehors en compagnie de X et Shadow qui n’avait pas le cœur a les laisser seuls et puis cela ne les dérangeaient pas de rester dehors.

Un seul problème venait troublé leur plénitude, la maladie d’Hokuto ne s’arrangeait pas loin de là, chaque jour elle empiraient un petit peu plus. Kotaro s’étaient penché avec lui, Fao, Karen et Max sur le problème et a force de chercher ils avaient trouver une solution plus ou moins potable…

-Ça pourrais marcher, admit Hokuto.
-Oui, mais ça reste très dangereux, fit Fao, inquiet.
-Fao a raison, Hokuto, tu devrait réfléchir, objecta Kotaro
-C’est ça ou j’y laisse la vie !
-Mais l’empire des machine avait trouvé des moyen plus sur… fit remarquer Fao.
-Oui mais il fallait remplacer tout mon sang et j’aurais perdu le seul lien de sang qu’il me reste, celui qui m’unit a Max et ça je ne veux pas !
-Il ne faut pas que tu pense a moi Hokuto, intervint Max.
-Max ne t’y met pas non plus, s’il te plait… Je le ferrait un point c’est tout, on ne discute plus.
-Bon, c’est ton choix on a rien à dire, mais si on veux te guérir il faudrait d’abord aller chercher le matériel nécessaire, fit remarqué Karen. Teppei, Ron on va avoir besoin de vous.

Les deux concerné se tenaient non loin de là et écoutaient la conversation sans mots dire.

-Oui ? qu’est-ce qu’on doit faire ? demanda Teppei.
-Vous aller partir avec Fao et nous ramener tout ce matériel, dit Kotaro en tendant un liste assé longue a chacun d’eux.
-Pendant ce temps, Hokuto, Kotaro et moi allons préparer Max pour y installer tout ce que vous aller nous rapporter.
-Bien partons directement ce sera ça de temps que nous gagnerons, s’exclama Ron en s’approchant de Raidow.
-Oui tu a raison, partons, acquiesça Teppei.

Ils partirent donc tout les trois dans des direction différentes, augmentant ainsi leur chance de trouver ce qu’ils recherchaient. Ils revient cinq heures plus tard avec presque tout le matériel qui leur était demandé, ils leur manquaient juste l’ « inverseur de rayon Gama » mais sinon tout y était.

-L’inverseur de rayon ? mmmh je sais bien qu’il y en avait un dans la base mais reste a savoir si il est intacte, fit Karen. Je me suis toujours demander a quoi il pouvait leur servir ?
-Je vais le chercher.
-Je viens avec toi, Fao, s’écria Ron, on aura plus de chance à deux.

Sur les ruine de ce qui avait par le passé la base de l’empire des machines, les deux jeune hommes se mirent a fouiller dans l’espoir de trouver la pièce manquante à l’aboutissement de la machine qui guérirait peut-être Hokuto.

Au bout de plus de trois heures de recherche, Ron appela Fao.

-Fao, ça pourrait être ça non ?
-Fait voir.. fit l’intéressé en s’approchant. Oui c’est ça, c’est ça et en plus il est presque pas abîmé, sa va être une jeu d’enfant de le remettre en état.

Ils rentrèrent tout les deux sur leur petite île, pour apporter la pièce manquante au professeur.
Quand il arrivèrent sur place ils s’étonnèrent de ne pas voir Hokuto et Teppei.

-Tiens, voilà l’inverseur, tu pourra le remettre en état ? demanda Ron.
-Oui, ce sera très simple merci, fit Kotaro.
-Où est Hokuto, s’inquiéta Fao.

Kotaro baissa les yeux et ne répondit pas. C’est Karen qui pris la parole a sa place.

-Hokuto, est tombé tout a l’heure, il est dans le coma, Teppei est à ses coté.
-Da-dans le coma ?où est-il ? je veux aller le voir paniqua Fao.
-Il est dans sa chambre.

Le gardien spirituel du Sud se précipita dans la chambre de celui du Nord. Il le trouva, là, allonger sur son lit, blanc comme un linge, Teppei à ses coté. Fao pâlit a cette vision. L’adolescent le regarda tristement et sortit de la pièce le laissant seul avec Hokuto. Le blond, s’approcha du lit et s’assit délicatement dessus comme pour ne pas réveillé la personne suis était allonger dessus. Doucement les larmes se mirent a couler le long de son visage, il pleura en silence avant d’éclater en sanglot, il se laissa aller sur le torse du médecin endormis.

-Ne me laisse pas Hokuto, je t’en prie, ne m’abandonne pas, j’ai encore tant de chose a te dire, sanglotait Fao. Je t’en prie je ferrait tout ce que tu voudra mais ne meurt pas. Qu’est-ce que je deviendrait, moi, si tu meurt, tu es tout pour moi Hokuto. Si tu mourait sans avoir entendu tout ce que je voulait te dire je m’en voudrait toute ma vie. Non, si tu mourait je me tuerais, je ne pourrais pas vivre sans toi Hokuto, tu m’entend, la vie sans toi, c’est pas la vie. Hokuto, vis, j’ t’en prie, vis…

A force de pleurer, Fao fini par s’endormir. Ron s’inquiétant de ne pas voir revenir son ami monta dans la chambre d’Hokuto et le trouva, là, endormis contre Hokuto, il avait pleurer, sur ses joues, on distinguait toujours les traînée qu’avaient laissé ses larmes. Cette vue serra le cœur du gardien de l’Est qui installa correctement Fao dans le lit.

je posterais la suite euh je sais pas quand faut encore que je l'écrive

voila c'est écris

Kotaro et Karen venait de finir de réparer l’inverseur de rayon Gama, et ils commencèrent a monter la machine. La nuit tombée, ils rentrèrent a l’intérieur, a quoi bon continuer, la fatigue contrôlait tout leur mouvement et continuer dans ces condition serait risquer de commettre une erreur. La gardienne de L’ouest monta directement dans sa chambre tandis que Kotaro, lui allait dans le salon. C’était justement dans cette pièce qu’il trouva Ron, il était assis dans le divan et regardait par la fenetre.

-Ron ?
-Ah !!! sursauta ce dernier. C’est toi… ?
-Qu’est-ce que tu a Ron ? où est Fao, il va bien ?
-Fao est dans la chambre d’Hokuto, il dort… je pensait, le pauvre, c’est pas facile pour lui…
-Oui, c’est vrai, il l’aime tellement, soupira Kotaro, on dirait qu’Hokuto est le seul a ne pas s’en être rendu compte…
-Oui… je ne voudrait pas me retrouver dans cette situation, … si, si tu venait a mourir sans que…
-Hein ? qu’est-ce que tu raconte ?
-Kotaro, je… je te respecte énormément et tu compte énormément pour moi.
-Euh,… oui merci, toi aussi je t’aime beaucoup…
-Mais, mes sentiment sont… sont plus fort qu’un simple amitié, ce,… ce que je ressent pour toi, c’est, c’est de l’amour, je,... je t’aime Kotaro, je t’aime… pardonne-moi, je suposse que tu va me détester maintenant mais si jamais je venait a mourir ou si toi tu mourais, enfin je voulait que tu le sache, quoi, désolé.

Ron pleurait maintenant a chaude larme, comme Fao quelque heures plus tôt.

-Ron ? tu…tu m’aimes ? moi ? vraiment moi ?
-Oui, pardonne-moi…
-Te pardonner ? mais de quoi ? ce… ce que tu viens de me dire est la plus belle chose que j’ai entendu de ma vie, c’est mots je les ai attendu tellement longtemps. Oh Ron, je t’aime aussi, je t’aime tellement…

Kotaro s’approcha du gardien de l’Est doucement et pris le visage de ce dernier entre ses mains, avec une lenteur incalculable il approcha ses lèvres de celle de Ron, celui-ci accéléra le mouvement et déposa ses lèvres sur celle tant attendues. Son tout premier baiser, il échangeait sont premier baiser avec celui qu’ils aimait, en espérant secrètement que pour lui aussi ce serait son premier baiser. Le professeur sentit une langue douce, chaude et humide quémander l’accès a sa bouche, avec plaisir et désir d’aller plus loin Kotaro lui céda le passage. Leur deux langue commencèrent une valse millénaire, jouant ensemble, se battant pour dominer l’autre…

A bout de souffle ils se séparèrent, ils se regardèrent dans les yeux et se sourirent, ils n’avaient plus besoin de mots pour ce comprendre en ce moment, leur yeux reflétaient tout l’amour qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Kotaro se leva et pris la main de Ron dans la sienne, il l’entraîna derrière lui jusqu'à la porte de sa chambre. Là il ouvrit la porte et y entra seul, Ron restant sur le pat de la porte.

-viens, entre, Ron, sourit Kotaro.
-Ou-oui…

Ron entra et se réfugia dans les bras du jeune professeur, c’était la première fois qu’il entrait dans cette pièce. Le jeune gardien spirituel reprit possession de ses lèvres. Lentement Kotaro les entraîna jusqu’au lit, doucement il l’allongea sous lui sans pour autant rompre leur baiser. Il le rompit plus tard quand il commença à déposer sur sa peu de doux et tendre baiser, il débuta par le visage puis descendit sur son cou, il se releva et défit la tunique du jeune homme, puis il reprit ses baiser, il s’attarda sur ses tétons dressé par le plaisir, les suçant, les mordillant ou les léchant selon les gémissements de Ron. Puis il descendit encore, s’arrêtant sur son nombril, ce qui arracha un nouveau gémissement au gardien spirituel.

-Ron, je t’aime, susurra Kotaro.
-Je t’aime aussi…aaah, gémit le jeune homme alors que son compagnon venait de passer sa main sur son entre-jambe.

Avec une lenteur calculé, Kotaro enleva le pantalon de Ron et son boxer. Ce dernier rougit en constatant que le professeur le détaillait.

-tu es beau, Ron.

Il retira a son tours ses vêtements et se coucha sur le gardien qui se raidit a son contact.

-Ça ne va pas ? s’inquiéta Kotaro.
-Je… j’ai peur, c’est la première fois…
-Pour moi aussi, sourit-il. Je te promet de faire doucement, ou préfèrerais tu qu’on s’arrête la pour cette fois ?
-Non, continue, sa va aller…

Kotaro présenta trois de ses doigts à Ron qui compris directement ce qu’il avait a faire et les mit en bouche pour les humidifié. Les jugeant assez lubrifié, Kotaro les retira de sa bouche et les plaça devant l’intimité du jeune homme.

Ron sentit, un doigts presser contre l’entrée de son intimité puis entrer en lui, ce qui le fit gémir, cette présence étrangère lui faisait mal mais c’était supportable.

Pour faire oublier sa douleur au gardien de l’Est, Kotaro, pris son membre en main et lui infligea un lent mouvement de va-et-vient, faisait gémir le jeune homme. Quand ce dernier fut habituer à sa présence il introduisit un deuxième doigts faisant pousser un petit cris de douleur à Ron. Alors il intensifia ses mouvement sur sa virilité et attendit encore un peu avant de faire entrer le dernier doigt se qui lui arracha quelque larmes, Kotaro embrassa doucement son aimé comme pour ce faire pardonné.

Après quelque minute, Ron s’était complètement habituer à la présence des doigts de Kotaro en lui et commença à se mouvoir autour d’eux. C’est à cet instant que les doigts se retirèrent faisant poussé un râle de mécontentement au gardien de l’Est.

Le jeune professeur se positionna devant l’intimité de son amant et avec la plus grande douceur qu’il puisse faire preuve, il entra en lui. Il était si étroit. Ron se cambra de douleur et les larmes se mirent a rouler le long de ses joues. Voyant cela Kotaro s’arrêta et était prêt à se retirer quand le gardien l’en empêcha.

-C’est bon sa va aller ne t’en fait pas sa va passé continue, s’il te plait.
-Tu es sûr ?
-Oui, s’il te plait continue, Kotaro…

Ce dernier obéit et continua a s’enfoncer dans son partenaires infligeant a nouveau le même mouvement a son membre dressé. Les larmes sur le visage de Ron finirent par sécher et les gémissement de douleur devinrent des cris de plaisir. Avec la plus grande prudence, Kotaro se retira pour le repénétrer, arrachant à nouveau des cris de douleur et de plaisir mêlé. Il répéta ce mouvement plusieurs fois et de plus en plus rapidement, les cris du jeune gardien devenaient de plus en plus de cris de plaisir et de moins en moins des cris de douleurs. Les mouvement qu’il infligeait au membre dresser du jeune homme aussi se faisait de plus en plus rapide.

En un cri, Kotaro se libéra dans le corps de Ron, qui se libéra quelque millième de secondes plus tard dans la main de jeune professeur.

Ce dernier s’effondra sur le corps épuisé de son amant et se blottit contre lui.

-Kotaro ? appela, Ron, brisant ainsi le silence qui régnait dans la pièce depuis quelque minutes.
-Oui ?
-On recommencera ? demanda timidement le jeune homme.
-Haha, oui, mais pas aujourd’hui, pouffa-t-il. Dormons maintenant, une longue journée nous attend demain, enfin plutôt moi…
-Désolé de ne pas pourvoir t’aider plus que ça…
-C’est pas grave, on a tous des domaine où l’on est plus doué, toi ton truc c’est le combat, moi c’est la technologie, sourit Kotaro. Allez, dormons maintenant.
-Oui…

Au bout de quelque minutes, Ron s’endormit sur le torse du professeur qui le regarda quelque instant avant de s’endormir à son tour.


bah voila dites moi ce que vous en penser

BRAVISSIMO

merci

je vais essayer de poster la suite demain

Waaaaaaa c'était mignon!!!!! Bravooooooooo

je suis déja en train d'écrire la suite

et donc voila la suite

Il était 10h et Kotaro n’était toujours pas lever, si ça continuait comme ça ils risquerait d’être en retard dans la construction de leur machine. Karen décida donc d’aller le chercher, arrivé devant sa porte elle frappa et l’appela doucement.

-Kotaro, Kotaro… tu es réveiller ?

N’obtenant aucune réponse, elle ouvrit doucement la porte. Elle resta figée sur place en constatant que Kotaro était nu sous les draps et pas seul. Ron était la aussi et pas plus habillé que le professeur.

Ron remua doucement, il se réveillait. Il ouvrit doucement les paupières et son regard se posa naturellement sur son amant.

-Kotaro, je t’aime tellement, lui souffla-t-il a l’oreilles.

Kotaro se réveilla à ces doux mots. Et sourit a son compagnon.

-J’aime quand tu me réveille comme ça tu sais. Mais ce que j’aime encore plus c’est toi.
-Kotaro…

Ce dernier lui donnait un tendre baiser matinal quand il entendit que quelque chose bougeait de l’autre coté de la pièce. Il se retourna vivement et vu Karen, paralysée au pied de la porte. Ron remonta le drap de leur corps dénudé, en rougissant de honte.

-Euh, Karen… qu’est-ce que tu fais là ? demanda Kotaro nerveusement.
-Je… je venais te chercher. Il est déjà 10…10h. mais je… je vais te, euh… vous laisser vous habiller…

Et sur ces mots elle sortit de la pièce. Les deux hommes se regardèrent et rougirent.

-je crois qu’on devrait effectivement s’habiller, sourit Kotaro.
-Oui, je veillerais sur Hokuto et Fao pendant que tu construira euh, c’est quoi au juste ?
-Bah pour faire simple c’est une capsule qui enverra sur le corps d’Hokuto des rayon inverse au rayon qu’il a subit par le passé d’une puissance égale permettant ainsi de les annuler. (me demander pas si c’est vraiment possible, j’en sais rien ^^ ;)
-Ah d’accord, euh enfin je comprend pas tout mais si ça permet de le sauver ça va.

Ils s’habillèrent en vitesse et l’un se rendit au coté de Karen pour construire la capsule tandis que l’autre allait dans la chambre du gardien spirituel du Nord. Quand il entra il ne fut pas étonné de retrouvé les deux hommes dans la même situations que celle ou il les avaient laissé la veille. Il secoua doucement Fao pour le réveillé.

-Fao, réveille-toi…
-Mmmmh…
-Réveille-toi, Fao…
-Mmmmh, encore deux minutes…
-Fao, il est 10h passé.
-Hein quoi !?!

Le gardien du Sud se leva du seul coup, puis se rendant compte qu’il état toujours dans la chambre d’Hokuto et que celui-ci ne s’était toujours pas réveillé il retomba dans la dépression dans laquelle il était la veille au soir.

-Fao… soupira Ron. Tu l’aime vraiment n’est-ce pas…
-Hein, mais… mais comment tu sais ?
-Tu sais, le seul a ne pas s’en être encore rendu compte est Hokuto lui-même, sourit tristement le gardien de l’Est.
-Peut-être ne le saura-t-il jamais, fit Fao alors que les larmes perlaient aux coins de ses yeux. Je voudrait tellement lui dire ce que je ressent pour lui mais il ne se réveille pas. J’ai tellement peur, peur qu’il ne se réveille jamais.

Ron pris le gardien su Sud dans ses bras pour le consoler et celui-ce s’accrocha désespérément a sa tunique.

-Viens manger, tu ne va pas rester ici sans rien manger tu vas te rendre malade, dit le brun.
-Mais je…
-Hokuto ne sera pas de bonne humeur quand il se réveillera et qu’il devra s’occuper de toi parce que tu a refuser de manger, argumenta Ron.
-Oui, tu as raison, mais je reviens toute suite après.
-Bien sûr, je ne peux pas t’empêcher de rester près de celui que tu aime, c’est comme si tu m’interdisait de rester près de Kotaro.
-Hein Kotaro ? tu l’aime ?
-Oui, rougit le gardien de l’Est. Et cette nuit, on a… euh enfin tu vois, avoua timidement le jeune homme.
-Oui, je suis heureux pour toi.

Il se dirigèrent tout deux vers la cuisine et discutèrent un peu quand Teppei arriva.

-Lut tout le monde…
-Salut tout seul, répondit Ron, bien dormis ?
-Moui, enfin sa aurait pu être mieux et vous ?
-Très bien, sourit le gardien spirituel de l’Est.
-Très mal, soupira le gardien du Sud.
-Oui, c’est normal, moi aussi j’aurais mal dormis dans ta situation.
-Mais vous êtes tous au courant ou quoi ?!
-Ben je t’ai dis que y’avait que Hokuto qui n’était pas au courant, se répéta le grand brun.
-Ah au fait, Ron. Quand tu passe la nuit dans la chambre de mon frère, essayer de crier moins fort, ma chambre est juste au dessus de la sienne…
-Ah… euh… désolé Teppei, rougit le concerné.

Ils terminèrent, commencèrent pour certain, de manger en silence puis Fao remonta dans la chambre d’Hokuto.

-Hokuto, mon ange, réveille toi vite, je voudrait temps revoir le beau vert de tes yeux, il y’a encore tant de chose que je doit te dire. Réveille toi je t’en supplie réveille toi.

Mais ce dernier ne se réveilla pas, et comme la veille Fao éclata en sanglot, il s’agenouilla devant le lit dans le quel reposait Hokuto et enfonça sa tête dans le matelas pour étouffer ses pleurs.

-Hokuto, Hokuto… réveille-toi, s’il te plait réveille toi. Je ne pourrait pas vivre sans toi. Si tu venait a mourir, je mourais aussi. J’ai si mal, te voir comme sa me fait si mal, tu a l’aire si faible alors, alors que tu es si fort, tu es si fier d’habitude.

Ron ouvrit la porte et découvrit Fao en pleurs a demi allonger sur le matelas. Il le serra doucement dans ses bras comme il l’avais fait quelque minute plus tôt.

-Ça va aller, Fao, ne t’inquiète pas, il va se réveiller. Il ne mourra pas. Ne t’en fait pas.
-Mais, il est si pâle, et il ne bouge pas, sa respiration est tellement lente. On… on dirait un mort.
-Il n’est pas mort, et il restera encore en vie de longue année, ne t’en fait pas, essaya de la rassurer Ron.

Mais Fao continuait de pleurer, il pleura tant et si bien qu’il fini comme la veille par l’endormir et comme il l’avait fait avant il le mit convenablement dans le lit a coté d’Hokuto et rabattit la couverture sur leur deux corps.

-Fao, Hokuto, j’espère que vous serrez heureux…

Il referma la porte et descendit au près de Kotaro et Karen qui montaient toujours la capsule. Teppei était la aussi a regarder son frère travailler.

-Où est Fao, demanda ce dernier.
-Il est toujours dans la chambre d’Hokuto, il s’est endormis.
-Le pauvre, ça doit être dur pour lui, fit Karen.
-Oui, il étaient en pleurs, je passe ma journée a essayer de le consoler mais la seul chose qui pourrait vraiment lui rendre le sourire serait qu’Hokuto se réveille.
-Le mieux qu’on puisse pour le moment serait de terminer rapidement cet engin, fit remarquer Kotaro.
-Si on peut vous aider en quoi que ce soit dites le, proposa Teppei.
-Merci mais c’est inutile on aura fini demain si tout va bien, fit Karen.
-Comment va Hokuto, demanda Max inquiet pour son donneur.
-Mal, il devient de plus en plus pâle…

Soudain on entendit un bruit de verre brisé dans la maison, Teppei et Ron se précipitèrent a l’intérieur pour voir ce qu’il se passait. Il se dirigèrent vers la pièce d’où venait le bruit : la salle de bain. Là il trouvèrent le miroir brisé, et Fao assit par terre, les poignet en sang, il se les étaient entaillé avec les morceau du miroir qui gisait au sol.

-Fao !!! mais tu es fou qu’est que tu a fait.
-Je ne veux pas rester sur cette terre, Hokuto va mourir alors je pars avec lui, sanglotait le gardien du Sud.
-Mais non il ne va pas mourir, s’indigna Teppei, comment peux tu penser une chose pareil !!! et tu dis l’aimer ?!
-Oui, je l’aime mais est-ce que tu m’as regarder je suis un homme et lui aussi, il ne m’aimera jamais de toute façon !!!
-Mais comment tu peux savoir ça ! tu ne lui as jamais rien dit !! s’exclama Ron. Et qui sais qui ne voulait pas le voir mourir avec de lui avait dit qu’il l’aimait ?! hein, qui c’est !?!
-Mais il va mourir ! alors, à quoi bon…, cette phrase Fao l’avait murmurer, il ne croyait plus en rien, sauf en son amour pour le gardien du Nord mais il était persuader que ce dernier ne se réveillerais jamais, alors il baissait les bras et abandonnait tout.
-Demain, demain si tout va bien, la capsule sera finie et on pourra guérir Hokuto, lui dit Ron.
-Mais on est même pas sure que ça marche…
-Oui mais peut-être que ça marchera mais si tu décide de mettre fin a ta vie maintenant et que lui survit, tu n’aura jamais l’occasion de lui dire combien tu l’aimes, alors attend encore et si la capsule ne fonctionne pas, on essayera autre chose.
-Oui…
-Aller ne perd pas espoir, tout n’est pas encore jouer, le rassura en temps soit peu Ron tandis que Teppei entrepris de lui bander les poignets.
-Aller viens un peu dehors avec moi, Teppei veillera sur Hokuto pendant ce temps. N’est-ce pas, fit-il en s’adressant au jeune frère de son amant.
-Oui, aller un peu prendre l’aire je m’occuperait d’Hokuto…
-D’accord, je viens avec toi…

Et il sortirent tout les trois de la salle de bain, Deux d’entre eux se dirigeant vers le jardin et Teppei vers la chambre du malade.


voila voila, que va-t-il se passer et ben haha mystère

et la suite enfin pratiquement personne ne lis alors j'ai moins honte du coup

Ron se réveilla dans les bras de Kotaro, celui-ci était déjà réveillé.

-Bonjour, murmura le professeur.
-Bonjour, que fais-tu encore ici, tu ne devrait pas travaillé sur la capsule ?
-C’est bon elle est presque finie et puis il n’est que 5h30 de matin…
-Je m’inquiète pour eux, si jamais Hokuto ne se réveille pas, Fao en mourrait de chagrin, j’ai peur pour eux, confia Ron à son amant.
-Je sais, alors je vais vite terminer la capsule avant qu’il ne soit trop tard, sourit Kotaro. Mais avant, bisous du matin.

Et sur ces mots il emprisonna les lèvres du gardien spirituel entre les siennes. Les douce lèvres du brun s’entrouvrir pour laisser passer la langue taquine qui quémandait à entrer. Leur baiser leur sembla durer une éternité, mais l’éternité n’existant pas pour les baiser, ils durent le rompre pour reprendre de l’oxygène. Ron se blottit contre le torse du châtain et soupira d’aise.

-Je suis tellement heureux d’être avec toi. J’ai bien fait de te dire mes sentiments.
-Moi aussi, je suis heureux mais ça pourrait être mieux si Hokuto et Fao étaient heureux.
-Oui alors dépêche toi de terminer cette foutue machine qu’Hokuto guérisse et que Fao puisse enfin lui avouer ses sentiments, s’exclama Ron.
-Bien maître je vais la terminer cette machine, sourit Kotura en essayant de se lever, mais pour cela il faudrait que tu me lâche, que je puisse m’habiller.
-Oh… euh oui, bien sûr.

Ron lâcha donc son beau professeur et le regarda s’habiller d’un œil intéressé. Kotaro s’approcha de lui donna un tendre baiser du bout de lèvres.

-Bon j’y vais, tu ira voir comment se porte Hokuto et Fao…
-Oui, tu aura bientôt terminer ? demanda le gardien de l’Est.
-Oui, on devrait l’avoir terminer vers midi, où peut-être même avant, vu l’heure.

Kotaro sortit de la pièce tandis que Ron commençait à s’habiller.

Après s’être habiller et avoir déjeuner, le gardien de l’Est se rendit dans la chambre d’Hokuto. Fao était assis sur la chaise devant le lit et regardait tristement celui qui hantait toutes ses pensées, à l’entrée de Ron il se retourna et esquissa un sourire mais le cœur n’y était pas.

-Alors ? demanda Ron
-Alors, rien, il n’y a aucune amélioration, soupira le gardien du Sud.
-Kotaro m’a dit qu’ils auront fini la capsule à midi au plus tard.

Fao soupira une fois de plus et reposa son regard sur Hokuto. Ron sortit le la pièce en silence. De nouveau seul avec le gardien du Nord, avec la plus grande tendresse il passa sa main sur la douce joue de l’homme inconscient.

-Tu a entendu, on va pouvoir te guérir, enfin je l’espère, murmura Fao en baissant les yeux. Encore cinq longue heures à patienter.

Dans Max, Kotaro et Karen, qui l’avait rejoins quelque minutes plus tard, terminait les derniers réglages.

-Karen, j’ai fini de vérifier cette partie, tu veux un peux d’aide ? demanda le jeune professeur
-Oui s’il te plait, tu peux vérifier ça… ?
-Bien sûr, je n’espérait pas avoir fini si vite.
-Oui c’est vrai j’espérait avoir fini pour midi et il est seulement 10h20

Teppei arriva 20 minutes plus tard, et constata que son frère et Karen ne travaillaient plus.

-Euh, y’a un problème ? s’inquiéta-t-il.
-Non, on a fini, lui sourit Kotaro.
-Je vais chercher Ron alors on transportera Hokuto jusqu’ici, Fao est bien trop faible pour le porter.
-Non, demande plutôt a X ou a Shadow de t’aider se sera plus prudent.
-Euh, oui t’as raison Karen. X viens m’aider a transporter Hokuto, lança-t-il a X.
-J’arrive.

Ils montèrent tout deux dans la chambre du malade. Fao se retourna à leur entrée.

-Que se passe-t-il ? demanda-t-il.
-La capsule est terminée, je suis venu chercher Hokuto, X va m’aider a le porter.
-Mais, je…
-Tu est trop faible pour le porter, l’interrompis Teppei.

Fao aida tout de même l’adolescent a hisser le médecin sur X. Ron, Kotaro et Karen les attendaient dans Max, quand ils arrivèrent, les deux amants installèrent Hokuto dans la capsule avec grand soin.

-Max tu peux commencer, déclara Karen.
-Bien…

Fao serra les poings nerveusement, Ron le voyant dans cet état s’approcha de lui et lui murmura :

-Ne t’inquiète pas, ça va bien ce passer…
-Mais si j’amais ça ne marchait pas…
-Ça va marcher…

A cette instant Max intervint :

-Le patient fait un arret cardiac.
-Ouvre la capsule tout de suite Max, cria Kotaro.

La capsule s’ouvrit et le prfesseur pris les défibrillateur qui se trouvaient non loin de là, Karen et lui avaient paré a toute éventualité…

-Hokuto !!!! Non, Hokuto, ne m’abandonne pas Hokuto, criait Fao
-Ron, retient-le, ordonna la femme.
-C’est ce que je fait
-Hokuto !! Hokuto, ne pars pas Hokuto, Hokuto…

Après trois tentative pour faire repartir son cœur, Max déclara que le cœur d’Hokuto s’était remis en marche. Fao sanglotait dans les bras de Ron qui essayait temps bien que mal de le rassurer. Max ajouta que la capsule avait eu les effet escompter sur le corps du médecin. Kotaro le sortit de la machine aider de son petit frere.

-Il est toujours pas réveillé, constata tristement Fao.
-Le traitement a été très épuisant pour son corps, il devrait se réveillé demain matin, l’informa le B’t du gardien du nord.
-Allez va te reposer un peu tu en a besoin, on va remonter Hokuto dans sa chambre il sera au chaud alors va te reposer, je vais rester par lui.
-Mais…
-Hokuto ne sera pas content si il doit te soigner à son réveil, ponctua Kotaro qui suivait la conversation de loin.

Fao accepta donc d’aller se reposer un peu alors que Ron, Teppei et X remontait Hokuto dans sa chambre.

Malgré la fatigue qui le tiraillait le gardien spirituel du Sud ne parvint pas a s’endormir avant deux bonne heure. Il était beaucoup trop préoccuper, Max ne c’était-il pas trompé en disant que le traitement avait marché ? Hokuto allait-il vraiment se réveiller demain ? devrait-il lui dire qu’il l’aime ? après tout ils étaient deux hommes et les chances pour que le médecin éprouve les même sentiment que lui a son égard étaient minime, et puis il avait tout son temps maintenant qu’il était guérit.

Mais doucement il tomba dans les profonde abysses du pays des rêves, là où le cauchemar est roi et où les rêves ne sont que chimères, mais il ne parvint pas à se réveiller, la fatigue l’en empêchait. C’est alors pendant des heures qu’il vit des images horribles, des scènes où Hokuto mourrait et le laissait seul, des scènes où il rejetait ses sentiment, où il disait qu’il le détestait. Cet univers des plus obscur, prenait de plus en plus de place dans son esprit, il l’assimilait comme la vérité, comme ce qui allait ce passer.

Les larmes roulaient à présent sur son visages, il gémissait et se débattait, mais il ne se réveillait pas. Comme si les dieux avaient décider de le torturer, en le laissant s’empêtrer dans ses cauchemars, comme si le ciel le punissait d’aimer un homme, enfin, c’est ce qu’il croyait en tout cas, c’est ce que lui laissait croire ses rêves…


bon ben voila je sais pas quand je posterais la suite

vu , lu, j'ai aimé ^^

et la suite est en train de se pondre dans mon petit esprit

et la suite


Il ouvrit les yeux, la lumière lui fit mal au yeux, après s’être habituer a la luminosité ambiante, il pu constater qu’il était seul, seul et dans sa chambre, combien de temps était-il rester endormis ? avait-il fini la machine ? où était les autre ? il entendit Teppei discuter avec X, mais les autre ? ou était-il ? Karen, Ron, Kotaro mais surtout Fao ? où était-il lui ? il l’avait entendu parler pendant son sommeil, ou peut être l’avait-il rêvé ? il fallait qu’il le voie, qu’il en ai le cœur net, il voulait savoir…

Il ouvrit la porte et sortit, il ne croisa personne dans les couloir et pourtant d’apres sa montre il était mdi. Que pouvait bien faire tout les autre, enfin sauf Teppei, pour lui il savait.

Ses pas le conduire jusqu'à l’étage supérieur, l’étage ou se trouvait la chambre de Fao, il en poussa la porte doucement, il était là, il s’agitait sporadiquement dans son lit, comme si il souffrait… il s’approcha doucement de lui et lui secoua doucement l’épaule pour le réveillé, mais ses rêves, ou plutôt ses cauchemars, le retenaient prisonnier, alors il l’appela doucement, il essaya de le rassurer mais rien n’y fait. Les larmes coulaient sur son doux visage et il continuait a se contorsionné dans tout les sens, il souffrait mais comment lui faire comprendre que toute cette douleur n’était pas réel, comment le réveiller. Ça lui faisait mal de le voir pleurer, il ne l’avait jamais vu pleurer, dans son sommeil pourtant il aurait jurer l’avoir entendu pleurer mais il ne l’avait pas vu…

Doucement il s’assit sur le lit de Fao et le pris tendrement dans ses bras, lui offrant sa protection, il berça doucement, il lui murmura des mot doux pour le calmer et le rassurer. Petit a petit, Fao se cama, les larmes cessèrent de couler le long de ses joues, il s’accrocha désespérément a sa chemise, cherchant, inconsciemment du réconfort.

Lentement ses paupières s’ouvrir, il s’aperçu que quelqu’un était là et le serrait dans ses bras, il leva doucement la tête pour voir qui était cette personne. Sa respiration se coupa et ses yeux s’ex-orbitèrent, il voulu se jeter dans ses bras et pleurer de bonheur mais ses rêve lui revinrent soudain en mémoire. Non, il ne devait pas faire ça, sinon il allait le détester.

Il le repoussa violemment et le regarda froidement.

- Qui t’as permis d’entrer dans cette chambre !
- Euh, je suis désolé, je ne trouvait personne et je m’inquiétait alors je suis venu voir si il y avait quelqu’un et comme tu semblait faire un cauchemar, je…
- Je n’avais pas besoin de ton aide !!! le coupa froidement Fao. Et si tu veux tout savoir les autre dorment sûrement, hier a été un journée éprouvante !

Ou était passé le Fao qu’il connaissait, jamais il n’avait été aussi dur et froid avec lui, il ne lui adressa même pas un sourire, pourtant dans son sommeil… non c’était sûrement un rêve, après tout quoi de plus normal, c’est un homme jamais il ne pourrait… qu’est-ce qu’il lui avait pris d’espérer pour rien. Peut-être s’était-il rendu compte des sentiment qu’il éprouvait a son égard et que c’était pour ça qu’il le repoussait si froidement ? oui c’était sûrement ça…

Il quitta la pièce en silence et le regard bas. Il retourna dans sa chambre et se jeta sur son lit avant d’éclater en sanglot, jamais, jamais il n’aurait du espérer ! était-il idiot ?! comment avait-il pu croire que ses sentiment était réciproque ?! finalement il préférait mourir, il voulait vivre pour rester a ses cotés mais si il le détestait la vie n’avait plus aucun sens, il ne voulait plus passé dans cette satané capsule, il s’excuserait auprès des autre mais il ne voulait plus vivre, mais il ne pouvait pas non plus mettre fin a ses jour de lui même, il était bien trop lâche pour ça.

La porte de sa chambre s’ouvrit sur Ron…

- Oh, tu es réveillé… Hokuto ? sa va ? qu’est-ce que tu as ?
- Rien ! laisse moi seul, je veux rester seul… sanglota Hokuto.
- Tu veux que j’appelle quelqu’un ? Fao, peut-être ?
- Non, pas lui je ne veux pas le voir, je ne veux voir personne sort, hurla le médecin en lançant son oreiller a la figure du gardien de l’Est.

Ron sortit de la chambre troublé, il s’attendait a tout sauf a trouvé Hokuto en pleur, qu’est-ce qu’il pouvait bien se passé dans sa tête pour qu’il se mette dans un tel état ? pourquoi ne voulait-il pas voir Fao ?

Il entra dans la cuisine et y retrouva son amant, il vint se réfugier dans ses bras pour y trouver un peux de réconfort.

- Ça ne va pas ? demanda Kotaro. C’est Hokuto ? il ne sais toujours pas réveiller ?
- Si, il s’est réveillé, mais…
- Mais ? répéta le professeur.
- Il est en pleur et il ne veux voir personne.
- Même pas Fao ?
- Surtout pas Fao, justement, c’est ça le plus bizarre, fit Ron.


bah ben voila, bon pour ceux qui l'a lise (c'est a dire les fantôme) j'espere que sa vous a plu

bon et voila la suite que personne ne lira de toute manière


chaque jours était un enfer pou Fao, chaque jours Hokuto venait le trouvé et malgré ses sentiments, il le rejetait aussi froidement qu’il l’aurait fait ave un inconnu, non pire quelqu’un qu’il aurait détesté et pourtant son cœur brûlait d’amour pour lui.

Chaque soir quand il était seul dans sa chambre, il pleurait, il n’en dormait presque plus et quand il parvenait a trouvé le sommeil c’était pour faire ces horrible cauchemar ou Hokuto lui disait qu’il le dégoûtait. Il avait même peur de dormir maintenant, il luttait tous les jour contre la fatigue qui l’accablait. Chaque jours il devenait un peu plus faible, en plus du manque de sommeil, il se nourrissait peu.

~*/¥\*~

De son coté Hokuto n’allait pas mieux, quand on lui avait appris qu’on l’avait déjà fait passé dans la capsule et qu’elle avait eu les effet escompté, il avait éclater en sanglot. Il aurait voulut mourir, Fao le détestait à présent, il était devenu si froid avec lui. Il ne sortait de sa chambre que pour se nourrire et aller tenter sa chance de parler a Fao mais a chaque fois celui-ci le repoussait froidement, presque agressivement.

~*/¥\*~
ce jour là Fao était sortit faire un tour pour ce changer les idée, il arrivait près de la falaise quand il entendit une voix, une voix douce et mélodieuse qui chantait un aire des plus mélancolique. Il s’approcha de la source de cette douce mélodie et vis Hokuto, assis au bord de la falaise, les pieds pendant dans le vide. Fao constata avec surprise qu’il pleurait, il se cacha derrière l’arbre qui se trouvait quelque mettre derrière le gardien du nord.

Les yeux perdu dans l’horizon Hokuto chantait, un chanson qu’il avait écrit en pensant a Fao, il y a bien longtemps, une chanson ou il exprimait tout ses sentiments depuis peu il avait rajouté un nouveau couplet à son œuvre depuis que Fao se montrait si froid et distant envers lui, dans ce couplet il exprimait la toute la douleur qu’il ressentait.

De sa cachette Fao écoutait les paroles que chantait celui qu’il chérissait, il trouvait qu’elles exprimait si bien ce qu’il ressentait, plus il écoutait plus la tristesse qui enserrait son cœur ressortait, les larmes s’étaient mises à couler sur son visage. Hokuto aimait donc quelqu’un lui aussi, sinon comment expliqué ses larmes sur son visage ? le cœur du gardien du sud se serra, il aimait quelqu’un, si seulement ça avait pu être lui … les larmes coulèrent encore plus abondamment sur ses joues

Fao se leva, il voulait partir, partir loin de celui qui hantait son cœur, malheureusement pour lui, il marcha sur une brindille et Hokuto se retourna vivement.

- Fao, s’étonna le médecin en essuyant ses larmes.

Sans se retourner, sans rien dire, sans même un regard pour Hokuto, Fao s’enfuis en courant. Le gardien du nord s’élança a sa poursuite, il s’était décider a lui dire ce qu’il avait sur le cœur, quitte a souffrire encore plus.

- Fao je doit te parler attend !!!

Afaiblit par son manque de sommeil et de nourriture, le gardien du sud n’était pas très rapide et fut donc rapidement ratrapper pas Hokuto. Ce dernier l’attrapa par le bras et le força a ce retourner. Fao détourna le visage, espérent vainement qu’il n’ai pas remarqué qu’il pleurait. vainement…

- Fao… ? tu pleures…
- Lâche-moi, laisse moi partir, supplia le gardien spirituel du Sud.
- Non, pas avant que tu aies écouter ce que j’ai a te dire. Depuis que je me suis réveillé tu est froid et distant avec moi, ça me fait souffrir et je crois savoir pourquoi tu fait ça mais…
- Si tu sais alors lache moi, laisse moi partir loin d’ici, le coupa Fao.
- Je te dégoute donc tant que ça que tu veuille t’enfuie loin de moi ?
- …
- ça te dégoute donc tant que ça qu’un homme soit amoureux de toi… ? mais je t’aime et je n’y peux rien. Tu crois que si j’avais pu choisir je serais tombé amoureux de toi ?! non j’aurais préféré que tu reste un ami pour moi mais mon cœur n’est pas de cet avis et je t’aime c’est comme ça ! je comprend que tu puisse ne pas partager mes sentiment mais tu pourait te montrer ne serait-ce qu’un peu plus sympatique avec moi.
- Ho… Hokuto…

Fao n’en croyait pas ses oreilles, Hokuto l’aimait lui ? ça ne pouvait être vrai, c’était un rêve, non ce n’en était pas uns il ne rêvait plus depuis longtemps, il cauchemardait, oui, mais ne rêvait plus. Alors c’était la vérité… il aurait voulu se jeter dans ses bras lui dire qu’il l’aimait aussi, mais il se senti soudainement faible, très faible, ses jambe avaient du mal a supporter son poids et pourtant il avait fortement maigris depuis ses dernière semaines, sa vision se troublait, les son qu’il entendait se faisait de moins en moins précis, la voix d’Hokuto se faisait de moins en moins forte. Puis il ne vit que du noir et il n’entendit plus aucun son, ses jambe lâchèrent et il s’écroula.

Le regard de Fao était vide et inexpressif depuis quelque seconde, puis d’un coup il tomba, si il n’avait pas été là pour le rattraper, il aurait été réceptionné par le sol mi-rocailleux mi-herbeux sur lequel ils étaient. Hokuto le transporta dans Max et l’installa sur la table d’auscultation. Le gardien du Sud était en carence alimentaire et manquait énormément de sommeil. Il lui fit un perfusion pour le nourrire un tant soit peu.

Il veilla Fao toute la nuit mais il ne se réveillait pas, normal, il était en manque de sommeil, il avait besoin de récupérer. Vers 3h30 du matin la fatigue fini par avoir raison de lui et il s’endormit, la tête reposant sur un de ses bras poser sur le lit ou était installer le gardien du Sud.

Pour la premier fois depuis plus d’un mois, Fao ne fit pas de cauchemars, il rêvait qu’il était avec Hokuto et que celui-ci lui répétait sans cesse qu’il l’aimait tout en le serrant dans ses bras, il lui murmurait qu’il ne le quitterait jamais, qu’il serait toujours la pour lui. Une larmes coula de l’œil de Fao, une seul et unique larme, un larme de joie et de bonheur.


dites ça vous parrait p'tete pas logique mais j'aimerais bien qu'on m'envois quelque commentaire

bah et une petite suite que personne ne lira de toute façon



Fao se réveilla a 9h30, Hokuto dormait toujours appuyé sur la table d’auscultation. Le blond souris et passa sa main dans les cheveux du gardien du Nord. Il l’observa pendant plus d’une heure, il était si beau quand il dormait, il n’y avait rien de comparable avec son état comateux, celui-ci était inquiétant. Mais quand il dormait Hokuto bougeait se retournait et gémissait, il rêvait…

ΩΨΩ

Le gardien du Nord ouvrit doucement les yeux, il se redressa et constata que Fao était déjà réveillé et qu’il le regardait. Hokuto se releva brusquement se rappelant des aveux qu’il lui avait fait la veille.

- Euh, Fao… à propos d’hier, je…
- Hokuto, tais-toi, laisse moi parler, le coupa le gardien du Sud.

Hokuto se tut, obéissant a Fao.

- Hier, tu as dit m’aimer, j’en ai été très surpris.
- Mais je croyait que tu le savais et que c’était pour ça que tu m’évitais…
- Non, la raison pour laquelle je t’évitais est toute autre. Je… La raison pour laquelle je t’évitais est que j’avais peur.
- Peur ? mais de quoi ? de moi ?
- Non pas exactement, j’avais peur de ta réaction. Mais maintenant je crios que je n’ai plus à avoir peur, mais…
- Mais ? répéta Hokuto.
- Mais bon voilà, c’est pas facile à dire.
- Vas-y, je ne me moquerais pas de toi tu sais, je n’oserais pas.
- Je sais…

Fao fit une pause durant laquelle il ne fixa que les draps.

- Hokuto, en fait la raison pour laquelle j’avais peur de ta réaction, c’est parce que… parce que… je… Je t’aime.
- Fa-Fao ? tu… tu m’aimes ?
- Oui…

Hokuto, s’approcha de Fao et déposa tendrement sa main sur son visage. Doucement, il se pencha sur le blond, leur yeux se fermèrent en même temps que leur lèvres s’effleuraient. Leur premier baisé, ils échangeaient leur premier et chaste baisé. Il se séparèrent aussi lentement qu’ils ne s’étaient rejoint. Leurs yeux se perdirent dans celui de l’autre avant que leurs lèvres ne se rencontre a nouveau pour échanger un baisé qui n’avait plus rien de chaste. Hokuto léchait avec insistance la lèvres inférieur de Fao, quémandant silencieusement la permission d’approfondire ce baisé, le gardien du Sud lui ouvrit le passage. Leur langue se rencontrèrent pour la toute première fois, elles entamèrent ensemble une longue danse. Il se séparèrent a bout de souffle et se sourirent. Un profond silence s’était installer dans Max et aucun des deux hommes ne voulaient le briser, Max, ne voulant pas dérangé se tut lui aussi.