les poèmes de Nat

si tu a parfaitement le droit de faire des poéme sur moi mais je doit être montré dans toute ma gloire et toute ma puissance

bon et un de plus

je me suis lancé dans les poèmes ou les vers n'ont pas le même nombre de pied, c'est plus facile et c'est pas moins beau je trouve

Le silence

Le silence est là,
Il est partout autours de moi.
Un silence oppressant,
Qui n’a rien de rassurant
Comme l’était ta voix
Quand je pouvait être près de toi.
Mais je suppose que tu l’as su
Car tu ne me regardais plus
Est-ce mal d’aimé
Quand la personne n’est pas du sexe opposé ?
Je n’es sais rien…
Où est le mal ? Où est le bien ?
Je ne voulais plus vivre dans ce monde,
0ù tout le monde me trouvait immonde.
Mais maintenant je regrette de l’avoir fait,
Je regrette de mettre tué,
Car le silence est là
Il est partout autour de moi.
Un silence oppressant,
Qui n’a rien de rassurant,
Comme l’est la voix de l’être aimé,
Quand on a le droit d’être a ses côtés.

et en voila un autre

Solitude

La solitude, c’est ce que je ressent
Car tu n’es plus là à présent.
Tu t’es donné la mort.
Etait-ce encore un coup du sort ?
Car ce n’est pas toi qui aurait dû mourir
Mais moi, pour t’avoir aimé sans rien te dire.
J’avais peur de te regarder et je t’évitait
Car je redoutait que tu découvre ce que je te cachais.
Maintenant je ne peux plus nier.
J’ai envie de le hurler au monde entier.
Mais je ne veux pas que ta mémoire soit salie
Par mes sentiments et mes envies.
Alors je vais me taire et rester muet
Mais jamais je ne pourrait retrouver la paix.
Ce soir j’irais m’endormir dans les bras accueillant du faucheur
Car la solitude est trop dur et me fait peur.
Alors je te rejoins là où tu es.
Nous ne serons plus seul, mais ensemble à jamais.

bah et en voila un autre


Balam

Je suis celui qu’on appelle la mort,
Enfin, je ne suis que l’un d’entre eux.
Moi, je suis préposé au suicide de ces pauvres malheureux.
Mais détrompez-vous, cela ne fait pas de moi un être fort.
Ce n’est pas ôter des le vie qui me gêne,
Non, la plupart d’entre eux serons mieux ici.
Mais je n’ai pas toujours été ce que je suis.
Avant d’être un démon, je trouvais mon existence bien vaine.
J’étais un ange triste et mélancolique.
Le royaume de Dieu peut paraître merveilleux,
Mais moi je l’ai toujours trouvé ennuyeux.
Alors j’ai péché pour être déchu de mon statut angélique.
J’ai été chassé au plus profond des enfers.
C’est dans ce monde que je l’ai rencontré,
Lui, le chef de tous ceux qui s’étaient rebellé.
De lui on disait que le moral était de fer.
Cela m’a intrigué alors je l’ai observé.
C’est un homme fier et droit,
Mais jamais il ne sais montré froid.
Combien de fois ne me suis-je pas réveillé
Après avoir rêvé de lui, de ses mains,
De la douceur de ses lèvres, de ses yeux carmins.
Car, oui, je doit bien l’avoué,
Ma faiblesse est d’être tombé amoureux de lui.
Moi, démon des suicides, un de ces rebelle,
J’aime le prince des déchu Azazel.
Mais cet amour restera à jamais dans la nuit.
S’il venait à le savoir, le prendrait-il mal ?
La colère déformerait-elle les traits de son visage ?
Je préfère ne pas savoir et garder intacte mon image,
Celle où il me sourit, où il ne pense pas que je suis sale.
Rien que pour cela je garderais mes sentiments silencieux.
Chaque jour est, pour moi, une autre souffrance,
Je sais qu’à ça je n’aurais pas de délivrance,
Mais chacun de ses sourires me rend heureux
Alors je vais me contenté de le regarder.
Je continuerais a travaillé pour qu’il ne se doute de rien.
Mais toujours je suivrais son chemin
Parce qu’à faute de pouvoir l’aimer, je vais le protéger.
Que faire d’autre ? Je suis tombé sous l’ironie du sort.
Je ne suis pas humain mais un de ces êtres immortels,
Je ne peux pas remettre ma vie aux mains d’Azrael
Alors je veillerai sur lui à faute de pouvoir me donner la mort.

oh toi aussi t'aime les nom en "el" mouais,,je crois qu'Azazel doit aussi etre le premier porte enseigne des armée des enfers.

D'ailleur je suis en train d'écrire celui sur Azael en fait je sais pas si tu a remarqué mais mes poèmes vont souvent pas deux

celui sur Azazel comme promis

Azazel

Depuis qu’il est arrivé il y a plus d’un milliard d’année,
Je n’ai plus pensé qu’à lui, à lui et à son sourire.
Dés le premier regard qu’on a échangé, je l’ai aimé.
Chaque nuits je rêve de lui, de ses soupires,
De nos corps qui s’enlacent et qui fusionnent,
De ses lèvres qui me murmurent qu’il m’aime aussi
Au creux de l’oreille et j’en frissonne.
Je voudrait que ces rêves durent jusqu'à l’infini.
Que ferait-il si il savait ce que je pense de lui ?
Briserait-il le liens d’amitié qui nous lie ?
Mais je l’aime, peut être est-ce aussi pour ça qu’on dit
Que je suis le démon du priapisme inverti ?
Je ne peux m’empêcher de vouloir l’embrasser,
Mais jamais je ne le ferait, je l’aime trop pour ça.
Si je le fait, il va sûrement me détester.
Je ne pourrais supporter qu’il s’éloigne de moi.
En fait, nous ne sommes pas si différent,
Il a été chasser du paradis comme moi avant lui.
Nos ailes ne seront plus jamais d’un blanc éclatant,
Elles seront noires, noires comme la nuit.
C’est un avantage pour lui qui travaille avec Azrael.
Il accorde la mort a tous ceux qui veulent en finir.
Mais jamais il ne prendra mon âme car je suis un immortel.
Et puis, qui accepterait de me voir mourir ?
Qui pourrait me remplacer auprès d’eux ?
Qui pour commander aurait assez d’autorité ?
Qui d’autre pourrait accueillir les chassés des cieux ?
Qui d’autre que moi pourrait être le chef des rebellé ?
Et puis, je ne veux pas tomber en disgrâce a ses yeux.
Mais que ferais-je si tu venais à me mépriser
Alors que tu es ce que j’ai de plus précieux ?
Je t’aime mais jamais tu ne pourra m’aimer,
Je ne suis rien de plus qu’un simple ami pour toi,
Je ne me suis jamais fait d’illusions.
Mais je vais quand même te garder près de moi,
Même si je doit souffrir de mon ardente passion.
Je demande juste que tu me pardonne
De t’avoir mentis et de toujours te mentir,
Mais j’ai tellement peur que tu m’abandonne.
Je t’aime Balam, tu détiendra à jamais mon avenir

bah et tant que j'y suis en voila un autre

Toi, mon ange

La vie me ri au nez.
Elle m’a toujours méprisé,
Vous m’avez toujours méprisé.
Sauf toi que j’ai tant aimé
Tu étais un ange pour moi.
Et tu es partis sans moi.
Je me sens si mal sans toi,
Je ne veux pas vivre sans toi.
Le seul qui me respectait
C’était toi, même après
Avoir su que j’était gay,
Car toi aussi tu l’était.
Mais maintenant tu es mort.
Et je vis dans le remord
Parce que tu es mon trésor,
Tu es ma vie, mon fil d’or.
Mais ce fil d’or s’est cassé,
Et j’ai tout abandonné
Pour venir te retrouver
Là ou je pourrait t’aimer.

moi dés que j'en ai fini un je le tape et je le poste ^^ parce qu'au sinon je les perd tandis que si il sont sur l'ordi

La nuit

La nuit me rappelle tant de chose.
Toi entre-autre, toi… et moi,
Quand au claire de lune, nos corps s’unissaient
Quand tu me souriais en me disant « je t’aime »

C’est à cette époque où nous voyons le vie en rose,
Qu’il est arrivé et s’en est pris a toi.
Il s’est approprié ton corps pendant que tu pleurais.
A partir de ce jour, tu n’as plus été le même.

Notre vie n’a jamais plus rien eu de « rose ».
Plus rien ne t’intéressais, même pas moi.
Puis un jour tu est partis et je ne te revu jamais.
J’ai appris que tu t’étais donné la mort dans la semaine.

Je ne voulait pas croire à ces choses.
Mais je me suis bien rendu compte que tu n’étais plus là.
Tu me manques, j’ai décidé que je te rejoindrais.
C’est cette nuit que j’arrive, mon amours, je t’aime…

Abandonné

Je t’ai attendu
Mais tu n’est jamais venu.
Alors j’ai pleuré
D’avoir été abandonné.
M’as-tu serré dans tes bras d’airain
Pour mieux me laisser en chemin ?
Pourquoi me fait tu tant souffrir ?
Cette situation te fait-elle sourire ?
Ce soir tu ma replongé
Dans la solitude où je suis né.
Je ne veux plus revivre ça.
Je voudrait tant que tu soit là.
Mais je ne me fait pas d’espoir,
Je sais que je resterais, seul, dans le noir.
Mais cette épreuve est trop dur.
J’ai l’impression d’être derrière un mur
Me séparant du monde et de toi.
Mon cœur se meurt, j’ai tellement froid.
Je ne peux plus vivre dans ce monde de glace
0ù toute cette cruauté est as sa place
Dans cet univers remplit d’indignité.
Alors, je vais tout abandonner.
Adieu à toi qui m’était si cher
Parce que ce soir j’abandonne ma chaire.

roooh mirci en voila un autre. (inspiration devant la télé)

Trahison

Tu m’as trahi.
Tu m’as menti.
Je t’aurais pardonné
Si tu m’avais raconté.
Pourquoi m’as-tu fais ça ?
Pourquoi m’avoir trompé, moi ?
Tu m’as déshonoré,
Et pourtant je ne cesse de t’aimer.
Ce que je vis est un enfer.
Je ne veux plus vivre sur cette terre.
Alors c’est a la mort que je vais me livrer
Adieu à toi, mon amour, mon aimé…